Chaque image dans l’œuvre de Fred Kleinberg peut en cacher une autre. Ou plutôt, chaque image est une autre image en puissance
Patrick Lefur De nombreux travaux, de la « La mémoire au corps » se font l’écho de l’Afrique ancestrale et magique. On ressent le corps dans la superposition des âges de sa composition, de sa modification, la scarification des expériences… La mémoire cellulaire en somme ?
Fred Kleinberg Ces œuvres sur papier, sont ceux de corps stratifiés, ils présentent des couches successives d’évènements. Des « portraits » anonymes, griffonnés, des visages qui surgissent d’un magma de traits bouillonnants. Peut-être, ce que l’on cherche, est ce à quoi on revient toujours, parfois malgré soi, est le visage. Peut-être « La mémoire au corps » est-elle avant tout la mémoire du corps de soi, celle à laquelle on n’échappe jamais.
La mémoire au corps, huile sur papier, 75x105 cm, 1999. Collection privée.
Strate, huile sur papier, 75x105 cm, 1999. Collection privée.
bouquet de nerfs huile sur papier, 75x105 cm,1999. Collection privée.
Cerner, huile sur papier, 75x105 cm, 1999. Collection privée.
L’homme cible, huile sur papier, 75x105 cm, 1999. Collection privée.
Entrelas, huile sur papier, 75x105 cm, 1999. Collection privée.
Sans histoire, huile sur papier, 75x105 cm, 1999. Collection privée.
Entre le couteau et la cible, huile sur papier, 75x105 cm, 1999. Collection privée.
Fétiche rouillé, huile sur papier, 75x105 cm, 1999. Collection privée.
Présence noir, huile sur papier, 75x105 cm, 1999. Collection privée.
Le vent rouge, huile sur papier, 30x40cm, 1999. Collection privée.
Regard bouche bée, huile sur papier, 30x40 cm,1999. Collection privée
Slave, huile sur papier, 30x40cm, 1999. Collection privée.
Visage anonyme, huile sur papier, 30x40cm, 1999. Collection privée.
Scarification, huile sur papier, 30x40cm, 1999. Collection privée
Masque tatoué, huile sur papier, 30x40cm, 1999. Collection privée.